La même vue avec un cadrage plus large est reproduite dans Henry Wallis, « Ancient Cairo Houses », Art Journal (London), mai 1888, p. 144, fig. 1. La légende indique Court of the House known as 'House of Kait Bey'.
Une autre vue identique, recadrée dans sa partie basse, se trouve dans les collections du Victoria & Albert Museum de Londres, Prints, Drawings and Paintings Collection (inv. 901-1917).
Une autre vue avec un cadrage frontal, serré et sans personnages, se trouve à la Bibliothèque nationale de France, département des Estampes et de la photographie BOITE FOL B-EO-1717 (et http://facchinelli.huma-num.fr/items/show/542). Cette vue porte le numéro de série 554.
]]>Une autre vue, avec un cadrage plus large et plusieurs personnages animant la photographie, se trouve dans le fonds Max van Berchem à Genève (Qâhira 2454). La légende indique Palais de Riḍwān Bey. 15e-17e s.
Une autre vue, avec un cadrage plus large et plusieurs personnages animant la photographie, se trouve dans l'album Sites et monuments du Caire choisis et catalogués par Ambroise Baudry, architecte du gouvernement, pour son ami Arthur Rhoné (archives Alinari de Florence), p. 34. La photographie porte le numéro de série 646 et la légende indique Palais en ruines de Kazabet-Radouan, près de la porte Métoualli.
]]>La même vue, recadrée, a été publiée dans Edmond Pauty, Les palais et les maisons d’époque musulmane, au Caire (MIFAO 62), pl. XL. La légende indique Maison d'as-Sadât el-Ouafa'iya, à châriʿ es-Sadat. Le texte précise, page 89 : « L'entrée principale est de nobles proportions, un vestibule conduit à une cour sévère garnie de machrabiyya. On distingue plusieurs portails dans cette cour. Par l'un d'eux on pénètre dans l'Oum el-Afrâh, salle des fêtes, dont les lambris de faïences ont été remplacés par des peintures. Dans le plafond ancien, on lit sur un bandeau des vers du célèbre poète Aboussîri. Cette salle possédait un salsabil, remplacé par un divan qui reçut le grand Cheikh as-Sadât, les jours de cérémonie. D'autres pièces, dont l'une se signale par ses plafonds et un bandeau à inscriptions. Au premier étage la grande kâʿa se distingue par ses menuiseries anciennes, ses mosaïques de marbre, ses lambris et ses plafonds peints ; une autre petite kâʿa, de moindre intérêt et quelques pièces secondaires complètent l'étage. Un corps de bâtiment important, construit au XIXe siècle, s'étend le long du jardin. »
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